Lumiere ou Ombre?
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 La forêt de givre

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Miku
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Miku


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MessageSujet: La forêt de givre   La forêt de givre Icon_minitimeSam 8 Fév - 19:45

Ça fessais a peine quelque heure que le soleil avait pointé le bout de sont nez a l'horizon. Et pourtant, pour une fois, je ne m'ennuyé pas. A l'aurore, des soldat étais venue me prévenir que l'état m'avais chargé d'une mission, éliminé une petite troupe de Noxien qu'il avait repéré prés des terre de glace. J'ai bien crue que j'allais leurs sauté a la gorge quand il m'on levé de si bonne heure, mais au final, sa m'a donné une occupation pour la mâtiné. Je n'avait pas mis longtemps a faire le trajet, White m'avais emmener avec bonne volonté, puis était repartie. Et j'avancais, en baillant, l'une de mes plus grosse épée posait sur mon épaule. Je regarder les alentour. 
Tss, il est bien gentil l'état mais je cherche qu'elle niveau moi? Se doit être une des partie du territoire les plus vaste... Ils ont de la chance que je sois fauché, sinon j'aurais refusé. Ils m’énervent! Il pourrait être plus précis. J’espère qu'il sont dans les montagne comme sa j'arriverais facilement a les repéré avec l’écho! Mais je doute qu'ils soient assez stupide pour être allé dans un endroit si facilement repérable... Sa me fait un endroit l'éliminer. Vers les plaines? Pire que la montagne! Peut importe la distance on verras certainement du mouvement au loin! Le lac? Qu'est-ce qu'il pourrais bien y faire?... Au pire, je regarderais en dernier. Il y a quoi d'autre... Tien, la forêt! Parfait repère pour un infiltré, c'est du vécu! 

En allant vers la forêt, j'avais menacé plusieurs fois de glissait sur ces fichu plaque de verglas, et puis au final, j'arriver a destination. Maintenant, j'aller devoir me faire discrète et tendre l'oreille. Même si je feulé après les plaque de glace tout a l'heure, je me rend compte que se terrain rend les condition plus simple pour deux raison; 
Premièrement, la neige ne faire quasiment pas de bruit quand je marche dessus.
Deuxièmement, j'ai la possibilité de trouver les trace de pas de ceux que je poursuit, quoi de mieux comme piste? 
Le tout est que je les trouve avant que eux me trouve. Pour cela, je devrais éviter de m'attarder au sol. 

Je range mon épée qui ne m'a pas servis pour le moment, et bondis sur un arbre pour continuer mon périple dans les feuillage. Rapidement, je les entendis parler et rire entre eux de discutions tout a fait normal. Je n'ai jamais vue des espion aussi bruyant, il ne leurs viendrait même pas a l'esprit qu'ils soient poursuivit? C'est le lieu qui doit faire sa!

Je m'approche davantage et distingue enfin la source du vacarme. Ils sont cinq, et leurs odeur se mêle trop pour que je détecte leurs race. Je fais apparaître une arbalète et vise. Tien sa ne me ressemble pas d'attaquer de manière aussi fourbe... Allé, juste un a distance pour semé la panique. Le plus jeune de la bande, un blond au yeux vert qui a l'air un peu perdue. Je tire. Il tombe.
Ok, parfait, les autre se mette a s'agiter et a sortir, les arme, se serras plus drôle comme sa! Je bondit dans leurs direction depuis ma branche en dégainant la même grosse épée que tout a l'heure et en assénant un violent coup du tranchant de la lame sur le torse de l'un d'un, j'ai touché la cage thoracique et l'ai eu sur le coup. Je passer rapidement mon épée en arrière pour bloquer l'attaque d'un autre. Une flèche m'attérie dans la cuisse. Rhaaa!J'avais pas vue qu'il y en avait un avec un arc! Se que je suis tête en l'air, je m'en serait occupé en premier sinon... Je vais me rattraper. Je m'avance vers lui et lui assène un gros coup de poing rageur alors qu'il allait tiré, puis l’achève une fois mis a terre. Et de trois. Plus que deux. Je fais tourner deux trois fois mon épée dans l'air en avançant lentement, il se mette en garde par méfiance, il se soucies sans doute plus de leurs sort que celui de leurs coéquipier. Je vois le type de personne que c'est, tant mieux, j'aurait encore moins de scrupule a les tuer. Déjà que je n'ai quasiment pas de remord envers les innocent. 

Bref, le but est de finir se boulot au plus vite! Je m'élance vers eux a toute vitesse et en transperce un, puis m'acharne a donner de nombreux coup a l'autre qui se défend plutôt bien... mais il est trop lent et prévisible. Je lui donne un violent coup de pied dans les tempes, il est sonné, je le finis. 
Voila, j'ai terminé ma mission, avec se regard, toujours aussi inexpressif. Pourquoi c'est toujours moi qui ramasse le sale boulot? Quitte a vouloir ce débarrasser des intrus, pourquoi il ne vont pas se salir les mains eux même. Je soupire. Autant que je me rende a l'évidence que la somme en récompense je n'en avait rien a faire, il me donner l'occasion de me battre et j'en profiter pour avoir une excuse pour tuer sans forcement être rechercher pour des crime...
Je commençait a faire demi-tours, enjamber les cadavre, jusqu’à se qu'une lame se planter derrière mon dos. Le jeune blond, toujours en vie

"-Tu ne m'auras pas..."


Tien, il est plutôt courageux lui! Et il a n'a pas l'air aussi m'avait que les autre. Je l'attraper par le col, et lui colle mon épée sur la gorge. Rien qu'un test. Je lui fait un sourire fourbe, soudain plus amuser par le tournure des chose malgré ma blessure!


"-Il se pourrait bien que si...

-Non, je refuse de mourir!"

Il retente un coup d'épée maladroit, vers la tête, je me tourne en même temps, et au final, j'ai le droit a une entaille très désagréable vers le haut de mon nez et entre les yeux. Par accident il avait bien visé, sa fait super mal a cet endroit! Il paraissez lui même surpris de m'avoir touché! Dans un premier temps, j'eu envie de lui faire subir le même sort que les autre, mais j'ai bien envie de lui laisser la vie sauve, se serait du gâchis de le tuer! Je le lâche et sursaute lorsqu'un bruit se fis entendre dans la broussaille, je jeter un léger regard en arrière sans complètement me retourner.

"-Qui est la?"


Le jeune homme avait commencer a partir discrètement. Je ne fais plus attention a lui. Qui peut bien m’interrompre a se moment la et dans un endroit aussi perdue? Pas quelqu'un que je connait pitié, avec l'allure que j'ai entre mes bras, mon visage, mes vêtement et mon épée taché de sang, je croie que je baisserait dans leurs estime.


Dernière édition par Miku le Lun 7 Juil - 19:32, édité 1 fois
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Rin

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MessageSujet: Re: La forêt de givre   La forêt de givre Icon_minitimeDim 6 Juil - 13:40






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Let  it  snow...





“Une fois la porte passée, tournez-vous sur la gauche. Un demi-pas seulement. Elle est là. Dans la pénombre. Les mains repliées autour de ses genoux. Un masque d’anonyme qui lui barre le regard. La souffrance qui l’observe. Elle a peur. Chimères et cauchemars se pressent autour d’elle. Voyez ? Ne détournez pas les yeux. Elle ne le mérite pas. Elle ne mérite plus rien. Elle tombe en lambeaux. Mais rangez vos aiguilles ! Vous n’êtes que des incapables ! Incapables ! Absurdités ! Mensonges ! Calomnies ! Son cœur n’est que vulgaire cendre, son âme fumée. La pluie qui lui dégouline des yeux n’est rien. Une simple larme d’un bleu recraché par les nuages. Rien qu’une larme… Juste une larme… Vous savez gardez un secret ? Au moindre contact, elle se brisera. Au moindre cri de plus, elle explosera. Une bombe ! Une fichue bombe ! Ses ailes ont été déchirées. L’envolé qu’elle avait pour muse est partie. Incompréhension. Question. Vous finirez par saisir la chose. Tout espoir lui est insaisissable. Mais l’éternité est-elle éternelle ? Pourquoi les papillons ne se font-il pas emporter par les vents ? Et les coquelicots, pourquoi sont-ils rouges ? Et toi, pourquoi ? Pourquoi ? Ne baissez pas les yeux. Oh folie, douce folie… ”

Elle.

Dans sa tête, les ténèbres s’enlaçaient dans une telle étreinte que leurs ombres n’en formaient plus qu’une ; un voile obscur qui oppressait chaque partie de son esprit. Le visage d’un cauchemar est souvent factice, fou, fantasmatique. Dans son cas, il était orné d’un sourire charismatique. Le regard des rêves d’une infinité de couleurs, sans véritable définition. Des teintes qui baladeuse, vagabondes, valsent au son des mélopées qui peuplent leur royaume onirique. Mais pour elle, ces iris oscillaient entre le rouge qui coule dans vos veines et le mordoré des flammes de l'Enfer. Les caractères de ces deux univers qui peuplent son sommeil, c’est si l’un a une tendance à être affable, agréable – et nous en sommes seulement à la lettre A-, il n’a rien à voir avec une quelconque gentillesse. Si l’autre est repoussant et ricanant, il n’a rien à voir avec une quelconque haine. Cessons donc de ranger ces deux étoiles contraires dans nos misérables tiroirs à étiquettes ! Cessons d’avoir peur ou de désirer ! Au final, peut-être que ce ne sont qu’une seule et même âme perdue au fond d’un trou, un être tombé, qui n’a pas trouver de bouteille rapetissante, de poignées parlantes, de chaises en lévitation, de lapin blanc courant contre le temps, de chapelier empreint de folie, de reine hystérique, ni un quelconque chat au pétillant sourire. Rien. Il n’y avait rien. Juste ce tapis de cendre qu’était son corps, et cette misérable fumée qu’était son esprit. Juste cette absence et ce désarroi. Juste…

Cette Elle, c'était toi.

Tu te réveillas en sursaut dans ce petit taudis lugubre qui te servait d'habitat, sur cette paillasse inconfortable faite de paille sèche et d'une maigre couverture – quoique le terme torchon serai plus approprié dans ce cas. Tu avais envie de fuir. D'être seule. De disparaître aux yeux du monde, rien qu'un instant seulement.
Tu te retrouvas alors dans un endroit si éloigné de tous. Les terres enneigées, hein ? Il n'y a traces de vie nul part. Tout est blanc. Tout est froid. Tout est mort. Un peu comme toi en fait. Toi, qui erres où tu penses que personne ne viendra te trouver, si ce n'est que quelqu'un daigne venir te chercher un jour. Quelle triste vie tu auras menée.
Tu enfonças ton pied dans la neige, continuant ton chemin, et laissant derrière toi une trace de ton passage. Mais vite elle disparue, recouverte d'un nouveau tapis blanc à cause des flocons qui tombent, virevoltent, vrillent dans un doux ballet gelé, porté par la légère brise qui souffle. Ce même vent qui s'engouffre dans tes cheveux noir d'encre – une tâche qui n'a pas sa place dans ce paysage d'un blanc pur, éthéré. Et puis, comme une enfant, tu tends tes mains rougies par le froid lancinant, et tentes d'attraper la neige qui cascade devant tes yeux. Mais elle te traverse, t'ignore, toi, le corps que personne ne peut palper ; le corps sans rien – le corps sans cœur, le cœur sans âme. Dure réalité.
Une larme coule. Tristesse.
Un poing se sert. Colère.
Si seulement tu pouvais changer. Si seulement tu pouvais mourir.
Un soupir franchi tes lèvres, faisant apparaître un petit nuage blanc qui se dissipa dans l'air froid et sec. Franchement, tu avais des tendance de plus en plus suicidaire – dommage, tu ne peux pas mourir. Un sourire amer tordit ton minois, dégoûtée pas tes propre minauderies que tu te lançais. Devenais-tu folle ? Sûrement. L'effet de l'éternité qui t'endommage, te ronge, te dévore l'encéphale pour ne laisser qu'un vide qu'on remplit de démence. Et la folie est une drogue. Dans le creux de ton désarroi, elle t'enlace. Tu étouffes, lentement. Elle s’insuffle en toi et dévore tout de l’intérieur. A commencer par le cœur, ce stupide organe incontrôlable. Derrière elle, il n’y a plus qu’une couche de poussière, des souvenirs bordéliques tombant en mille pluies de lambeaux, recouvrant les tombeaux du passé. Elle te fait oublier. Perdre notion de toutes les importances de ce monde. La différence entre les humains et les fous, c’est que ces derniers ont conscience de l’être. D’une certaine façon alors, ne seraient t-ils pas supérieurs ? Faux. Eux, ont juste échoué. La seule manière de perdre, c’est d’abandonner avant d’avoir combattue. Eux n’en avaient pas la force. La vicieuse folie est tapie en chacun de nous, patiente, elle attendra juste le bon moment. Peut-être que vous n’aurez jamais à l’affronter. Toi, elle t'a vaincue depuis longtemps. La folie donne le sentiment d’être libre, délivré de toutes chaînes. Un simple sentiment. Mais qui peut tout changer. Être libre, en cet univers, ce n’est qu’une chimère. Elle n’existe pas. Seule elle peut vous la donner. Voila ce qu’elle va chanter au damné, cette folie. 
Tu poussas une nouvelle plainte, incontestablement lassée de... De tout. Mais alors que tu allais de nouveau te lamenter à toi-même, tu remarquas une nuée d'oiseaux prendre leurs envols d'un point précis plus au nord, à une dizaine de kilomètre, et qui fuyait cet endroit comme les humains fuyaient la peste.
L'espace d'un instant, tu pensas y aller. Mais si là bas se trouvait quelqu'un ? Tu avais envie de voir personne, croupissant dans ton isolement et ta lassitude. Tu bifurquas alors et partis en direction opposée.

Après une dizaine de minutes de marche, tu t'arrêtas vers un grand arbre – un pin mesurant plusieurs mètres dont les branches épineuses chargées de neige se plissaient sous ce poids – et tu levas les yeux au ciel. Un ciel terne et gris. Un ciel d'hiver si doux, si triste, si dormant. Mais vite cette voûte céleste se déchira. Elle se recouvrit de noir ; de grand oiseaux charbon se pressaient de nouveau au dessus de ta tête, tout près. Il y en eu même qui partaient du pin où tu t'étais arrêtée, faisant s’ébranler les branches et tomber de lourds paquets de neige au sol. Ah, cette fois, impossible de te défiler.
Tu avanças fébrilement dans les buissons proches, alors que quelques brindilles craquaient sous tes pas.
Qui est là ? 
Tu tressaillis. Cette voix... À cet instant tu voulais partir et disparaître, lui faisant croire que ce n'était qu'un animal sauvage, pourtant tu souhaitais également savoir ce qu'elle fabriquait dans ce coin plus que perdu – t-avait-elle cherché ; non, impossible. Ne jamais monter dans la voitures d’un inconnu, ni accepter le moindre bonbon d’une personne dont on ignore l’identité. Des leçons de survie. Il y en à tant d’autre. Mais il y en avait une que tu ne semblais pas avoir retenue : la curiosité est un vilain défaut. Tu revois encore ta mère te sermonner à cause de cette curiosité le jour où tu t'étais introduite en douce dans la maison de Madame Gotô, votre veille voisine, pour lui voler son livre de recette, soupçonnant la pauvre dame d'être une sorcière et que ce livre était en réalité un grimoire magique.
Enfin, c'était une petite anecdote idiote passé il y a longtemps, sans grande importance. Mais maintenant tu t'avançais vers un spectacle chaotique et morbide.
Du sang. De partout. Qui mouchetait la neige dans un contraste criard. Des corps d'hommes – innocents ou non, c'était des hommes, merde ! Et au milieu de toute cette pagaille, elle, tu ne t'étais pas trompé. Miku... Ses vêtements, déchirés ; son visage, sanguinolent ; son épée, meurtrière. Une bile acide remonta le long de ta gorge, mais ta bouche resta définitivement fermée, impassible, alors que tes yeux, eux, lançaient des éclaires.
Combien ? Combien d’hommes ont eu l’utopie de vouloir gouverner en bon tyran le monde ? Qu’il soit ange, démon, elfe ou vampire, refaire le monde à son image était-ce vraiment une solution ? Mais personne n’a la même image. Voilà la définition d’une guerre. Tant d’idioties, de choses gâchées. Ce monde était vraiment cruel, infect, sans pitié ni cœur.
Tu ne dis rien. Tu ne bougeas pas. Tu laissais le temps s'écouler, bras ballants, attendant une réaction – même une toute petite – de cette parricide, qui pourrait te prouver qu'il lui restait un semblant d'humanité.
Tu étais bête et affreusement naïve. Mais tu ni pouvais rien. Tu n'étais qu'une gamine innocente. Tu aimais casser la couverture caramélisée avec le dos de ta petite cuillère quand tu mangeais un crème brûlé. Tu aimais contempler le dôme des astres la nuit. Tu aimais entendre le frottement de ton crayon sur le papier. Tu aimais voire les traits de couleurs tracés par ton pinceau. Tu aimais entendre le cliquetis de ta souris à pomme. Tu aimais les voir sourire, les entendre rire. Les larmes ne sont qu’apaisement, les calomnies, souffrance, leurs mains tendues, chaleur. Tu te nourrissais de rêves sortis de la fabrique de ton monde fantasmagorique. Tu aimais entendre le bruissement de feuille de papier des pages qu’on tourne. Voir danser sur ton regard allégories et chimères. Tu aimais ces mots pixelisés derrière ton écran. Tu aimais appuyer sur les touches couleur damier du piano qui reposait dans cette salle vierge. Tu aimais faire vivre ta propre valse de métaphores.
Et tu aimais tant d’autres petits plaisirs. Tu t'étais rendue compte de cette affection à leurs égard seulement lorsque que tu en as était privé. Ironique. Malgré tes efforts pour garder leurs souvenirs suffisamment vifs dans ton esprit, ils se sont peu à peu étiolés jusque à ne devenir plus que des parties insaisissables de toi-même. Après la robotisation de vos mains, ce sont sûrement vos yeux emplis d’émotion, ouverts sur votre propre vision qui porte le plus de valeurs. Le monde brise chacun d’entre vous, et, après coup, certains sont plus solides à l’endroit de leurs fractures. Toi il n’en fut rien. Cette citation ne s’applique pas. Tes yeux ont lâchés. Tes iris se sont décolorés. Tes prunelles se sont tournées vers un monde aussi sombre qu’elles : celui-ci.
© Jawilsia sur Never-Utopia

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Maïa

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MessageSujet: Re: La forêt de givre   La forêt de givre Icon_minitimeMer 31 Déc - 17:02

[Excusez-moi du temps que j'ai pris, bien 6 mois en fait... mais bonne année !! <3]


Le son de la neige crissait au passage d'une bête. Quelques empreintes de lièvres blancs se dessinaient sur la neige fraîchement tombée. Un murmure entre les arbres révélait la présence d'un rossignol réveillé par les premiers rayons du soleil, quand soudainement un gland tomba du ciel. Un écureuil devait sûrement se trouver dans les environs car à cette époque de l'année, plus aucun chêne ne produisaient de glands, les arbres étaient à nus et leurs feuilles bien enfouies sous cette épaisse couche de neige.

Et parmi toute cette vie quotidienne de la nature, quelques empreintes de semelles un peu trop usées se dessinaient petit à petit sur l'immensité blanche de la forêt enneigée.
Malheureusement et par le plus grands des hasards, ces sales paires de semelles sont à moi.


Voilà bien 8 heures que je marche, les pieds gelés par la neige pénétrant dans mes chaussures trouées. Mon corps frissonne de partout mais je persiste à continuer jusqu'à ne plus sentir mes pieds. Un trou par ci un trou par là, vu l'état de mes habits le vent n'a plus aucun mal à parvenir jusqu'à ma peau gelée. Je grelotte malgré moi.


6 jours plus tôt


J'entrai dans l'auberge et me dirigeai tout droit vers le panneau où était affiché des centaines d'annonces en tout genre. J'en reconnus quelques unes qui étaient des arnaques accrochés depuis longtemps et que je connaissais pour être déjà tombée dedans ! Bref, rien que des pièges à nouveaux. J'en reconnu encore du vieil épicier pervers d'à côté qui cherchait depuis des lustres une jeune fille pour soi-disant « aider à la caisse » … j'ai un jour déjà voulu essayer mais ayant vite pris conscience de l'esprit mal placé de ce vieillard j'ai démissionné au bout d'environ 10 min. Bref, vous remarquerez rapidement que je suis un aimant à arnaques, même pas foutu de garder un boulot pendant plus de 4 semaines ! J'ai pourtant déjà été embauché dans des boulots honorables mais aller savoir pourquoi je me faisait toujours virer peu après, pour des choses que je n'avais parfois jamais faîtes. Il y a eu une fois aussi, alors que je pensais mon boulot enfin stabilisé, la boutique s'est effondrée à cause d'un éclair qui a frappé sur un gros poteau de la rue et qui était tombé pile sur le magasin. Pour vous dire la chance que j'ai parfois ! Il y a même eu une fois où j'ai été embauché chez un boulanger du coin, tout s'était parfaitement passé les 2 premières semaines mais, ma réputation m'ayant suivie, le gérant changea subitement son comportement à mon égard et me renvoya de peur qu'il n'arrive quelque chose à sa boutique. Voyez comment je porte la poisse ! Mais aussi bizarre que ça puisse paraître je suis plutôt chanceuse en tout ce qui ne concerne pas le boulot.
Bref, alors que je cherchais attentivement LE boulot qui m'irait, mon regard s’arrêta sur un coin de la pancarte. Une petite feuille, pliée, était cachée dans l'encadrement du tableau d'affichage. Bizarre! me dis-je, je ne l'avais jamais remarqué auparavant.
Je décrocha mon regard du petit bout de papier coincé dans l'encadrement et me replongea dans la lecture des différentes annonces en face de moi. Il y avait des propositions de quête aux trésors, de poste de serveuse, de la vieille dame qui avait perdu son chat...etc. J'essayais vainement de me concentrer mais la feuille m'intriguait de plus en plus, comment se faisait-il que je ne l'avais pas remarqué durant mes innombrables visites pour chercher du travail ?!
Je me concentrai à nouveau sur mes annonces mais l'esprit toujours occupé par la feuille coincée.
Tiens ! Une autre annonce de ma gentille voisine cherchant un jardinier pour s'occuper de ses belles plantes parsemant tout son jardin...
Je ne pus plus tenir, c'était comme si la feuille coincée dans l'encadrement m'appelait! En m'approchant doucement vers le coin du tableau j'essayai de ne pas trop me faire remarquer.
Mes doigts se glissèrent dans l'encadrement mais le papier était trop enfoncé pour que je puisse l'attraper avec mes doigts. Je tenta à nouveau de glisser mes doigts dans le petit espace entre le tableau et le cadre mais c'était vain. Désespérée, je poussa un soupir de déprime et passa ma main dans mes long cheveux d'un rose éclatant, pas très discret comme chevelure me diriez-vous. Je sentis alors une chose solide dans mes cheveux, mais oui bien sûr ! Comment n'ai-je pas pus y penser plus tôt ?! Une barrette serait parfaite pour ce genre de besogne ! Je la décrocha de mes cheveux et m'attaqua au cadre.
Tout en triturant comme une malade ma barrette pour extraire la feuille de l'encadrement je me pris à penser que je serai une parfaite voleuse si je le voulais !
Bon, mais ce n'est qu'au bout d'une bonne dizaine de minutes de triturage que je réussis enfin à tenir le petit bout de papier entre mes mains ! Je pense que personne ne voudra de moi en tant que voleuse….
Le papier, ou plutôt le bout de tissu car il s'avéra que ce n'était pas une feuille de papier, était enfin dans mes mains et tout en le dépliant délicatement je sentis un frisson d’excitation me parcourir. Finalement c'était bête, parce que ce petit bout de tissu pouvait très bien être vierge. Peut-être même que c'était un homme un peu trop bourré qui avait à ce moment-là un torchon dans les mains et qu'il voulait s'en débarrasser en le coinçant dans l'encadrement, tout simplement!
Cependant plus je dépliai le tissu plus l'excitation m'envahissait.
Je le dépliai tout doucement, prenant garde à ne pas déchirer le textile. Arrivant au dernier pli, je retins mon souffle et ouvrit délicatement le tissus moisi par le temps et l'humidité. L'auberge était de plus en plus bruyante, une bagarre n'allait pas trader à exploser mais tous cela je m'en fichait. Toute mon attention se portait sur ce simple bout de tissus qui pouvait tout simplement être vierge. Un pauvre mouchoir laissé là par un ivrogne un peu trop saoul et triste. C'était bête finalement ! Comment pouvais-je penser une chose aussi idiote que celle d'imaginer qu'un pauv' mouchoir abandonné pouvait cacher un message secret. N'écoutant plus ma conscience je dépliai d'un coup le dernier pli et aplati le tissu sur la table la plus proche. Tout l'air de mes poumons que j'avais retenus depuis ce temps se vida d'un seul coup à la vue du tissus imprimé. Une série de symbole bizarre s'écrivait seul dessus. De temps en temps de petits dessins tout aussi incompréhensibles venaient illustrer les signes. Je remarquai bientôt que certains symboles se ressemblaient étrangement. Ce tissu devait être très ancien, et les symboles, une langue que je n'avait jamais ni lu ni entendu. Je restai quelques minutes à me triturer les méninges pour essayer de déchiffrer les symboles, cependant rien de valable n'en sorti. C'est alors que j'entendis un fracas sur ma gauche, un homme plutôt costaud avec un uniforme que je connaissait trop bien venait d'éclater une bouteille d'alcool sur le coin d'une table et la tenait comme une arme en s'approchant d'un vieil ivrogne rabougris et carrément saoul qui ne semblait pas comprendre ce qui lui arrivait. L'homme qui tenait la bouteille n'était autre qu'un garde venu se désaltérer le gosier d'un peu d'eau de vie que l'auberge était fière de vendre. Ce n'est qu'une fois que le garde se retourna que je vis une large tache de vomi sur son uniforme impeccable. Le vieux avait sûrement rejeté tous son repas de la veille sur le garde mais trop alcoolique il ne s'en était pas rendu compte.
-Aie aie aie, pensais-je en pensant au sort du vieil ivrogne.
Au moment où la bagarre commença vraiment et que toute l'auberge s'y mis, je décida de sortir avant de me prendre un pain dans la tête. Je ramassai le parchemin et le cachai dans la doublure de ma veste avant de me jeter dans la mêlée et de me contorsionner pour esquiver tous les mauvais coups qui arrivait de partout. Entre coup de point et coup de pied, je réussis à me faufiler jusqu'à la porte, entière. Un exploit en soi.
Je remontai le col de ma veste, le temps se rafraîchissait de plus en plus à cette époque de l'année. Déjà, un peu de givre s'installait sur les toits des maisons et les oiseaux avaient migré vers des territoires plus chaud. Tout annonçait l'arrivée de l'hiver. La rue dans laquelle je me trouvait était grande et beaucoup de passants la traversaient, certains avec un air pressé, une mallette à la main, regardant sa montre de son autre main, d'autre prenait leur temps, sûrement en balade, d'autre encore s'arrêtait à chaque magasin pour admirer les beaux bijoux ou habits. L'ambiance de l'auberge contrastait beaucoup avec le calme de la rue. Je me suis souvent demandé ce que pouvait bien faire une auberge sale et puante au milieu de cette rue presque joyeuse.
Je sentis un frisson me parcourir quand le vent se fraya un passage entre mes pauvres vêtements jusqu'à ma peau nue. Je n'avais pas envie de retourner chez moi, il y faisait de toutes façons aussi froid que dehors avec les fenêtres cassées, et l'auberge était devenu un foutoir pas possible. Impossible de rentrer là dedans non plus. Je m'adossai alors au mur de l'auberge et réfléchis au parchemin que je venais de découvrir. Comment le déchiffrer ? Cela dura plusieurs dizaines de minutes jusqu'à ce qu'un point que je n'avait pas relever jusqu'à présent m'intrigua. Je sortis le papier de ma poche et l'examina à nouveau, une nouvelle ligne de symboles s'étaient dessinés depuis. On aurait dit que j'avais activé l'écriture des symboles rien qu'en touchant le tissu de mes mains. Peut-être m'était-il destiné ? Cela me semblait incroyable mais c'était la conclusion la plus crédible que j'avais eu jusqu'à présent.Je réfléchis pendant une bonne heure toujours intriguée pas cet étrange bout de tissu. Aussi bizarre que cela puisse paraître, ce morceau de tissu m'obsédait, je n'arrivais pas à détacher ma pensée de cet étrange parchemin. Mais plus je me creusais la tête moins j'arrivais à une traduction cohérente. La bagarre dans l'auberge s'était arrêtée mais je ne m'en aperçus pas, bientôt plus une seule personne ne se trouvait dans l'auberge et la rue se faisait de plus en plus déserte mais je ne m'en rendais toujours pas compte. J'étais obnubilée par ce mystérieux parchemin. C'est alors que les symboles s'arrêtèrent. La totalité du tissu était remplie de ces étranges symboles et plus aucun ne continuait à se dessiner. Une idée me vint alors, je connaissais une vieille dragonne qui m'avait tout appris de la vie, elle était formidable et connaissait un paquet de langues anciennes ou non. Un seul problème se posait : elle habitait dans la forêt enneigée.






Retour au présent




Me voilà gelée jusqu'aux os, même pas capable de mettre un pied devant l'autre… et mon ventre me rappelle de plus en plus l'ordre !!!
Au bout d'une bonne quinzaine de minutes, n'y tenant plus, je décida enfin d'aller me chercher de quoi me mettre quelque chose sous la dent avant de tomber raide morte de faim et de froid. Mon nouveau poignard coincé dans la boucle de ma ceinture me procurait un sentiment de sécurité et je le tenait constamment à hauteur de main pour que je puisse le sortir en cas de danger. Dans le cas présent cependant, je me rassurai en me disant qu'il allait m'être fortement utile dans ma quête de nourriture.
Tandis que je guettais quelques indices signalant la présence d'un quelconque animal, je sursautai quand j'entendis un cri humain sur ma droite. Je tressaillis, de peur de rencontrer une bête sauvage ayant blesser l'homme. Tout de même, un homme par ici, ce n'est pas souvent qu'on en rencontre dans cette forêt. Mais ma curiosité l'emporta sur ma conscience, et je m'avançai aussi discrètement que possible vers l'origine du bruit. Au bout d'une ou de deux minutes de marches, je vit un étrange spectacle. Je vis un tas d'hommes étalés dans la neige, sûrement mort, me dis-je en apercevant le sang qui rougissait la neige. Une femme se trouvait au milieu du champ de bataille, elle portait une grosse épée sanguinolente et semblait ravie de son travail. Je me cachai derrière un grand buisson, le terrain en pente. Soudain, j'entendis un bruit dans les buissons par très loin de moi, la guerrière l'entendis aussi car elle se retourna aussitôt :
-Qui est là ?
Je tressaillit de peur qu'elle ne m’aie entendu mais la guerrière ne semblait pas regarder dans ma direction. Je m'avançai alors d'un pas pour essayer d'apercevoir le nouveau venu quand je trébucha tout à coup sur une racine qui dépassait de la neige, j’essayai de me rattraper tant bien que mal à elle mais elle se cassa nette et je commençai une interminable descente dans la neige, tournant dans tous les sens. Je sentis une branche m'érafler la joue et je me pris pas mal de coup en me cogner contre des pierres. Une fois en bas j'étais salement amoché mais je m'en fichait pas mal en apercevant la surprise de la guerrière quand elle me vit.
-Ah merde...





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Miku
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Miku


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MessageSujet: Re: La forêt de givre   La forêt de givre Icon_minitimeDim 5 Avr - 21:27

[Desoler du temps de reponse x-x]

Ma gorge se serre, l'air empester la mort. Comment en étais-je arriver la? 
Du sang. 
Partout, a croire que la teinte de ma peau finira par devenir écarlate naturellement en hommage a l'identité de mes victime, déchiqueter, défigurer. Je vole leurs vie, leurs âme, leurs êtres. Je suis un bourreaux
Pourquoi je fais ça?
J'aimerais dire que j'y suis obligé. Je souhaiterais tellement pouvoir dire ça. Mais le temps n'en a pas voulue ainsi. Il ma changé. J'ai evoluer avec le monde, je suis corompue, pourrie, mon âme c'est noirci pour ne pas avoir plus de valeur que la vie d'un simple voleur. Ce monde est corrompue par tout les vices, il est tellement laid....
Colére.
Toute tolérance a disparue, tout le monde est aveugle. Un désire de destruction des autres par satisfaction personelle s'empare de chacun de nous. Tuer. Detruire. Anéantir. Frapper, briser, hurler! Se dechainer. Ne penser plus qu'a soie et ecrasé les autres.
Ce sentiment me posséde, m'ommnibule et ne fait plus qu'un avec ma personne. Libérer moi.... pitier, c'est insuportable.... Je ne veut pas... je ne veut pas... detruire....
Si seulement se purger, s'en déposéder etais encore possible, mais il est trop tard. Elle me brule et j'essaie de la passser dans l'hystérie, pour que la folie soie une excuse qui me permette de passer au dela de mes vice.
Mais tout cela est un mensonge.
Envie.
"Regarde cette homme, il donne de l'argent au plus pauvre seulement pour la notoriété, pour montrer qu'il est plus riche et amassé encore plus. Quelle ordure."
Jalousie a dévorer le coeur de tout ces etres de chair. N'etais t'il pas assez stupide? Pourquoi arracher les yeux a ces aveugle qui avais encore une chance de retrouver la vue? 
Maintenant, tout acte percue meilleures que les sien doivent t'etre justifier par les autre de la maniere la plus horrible qui suis pour paraitre meilleurs, toujours meilleurs, mais le regard que les autres porte sur nous n'est pas sencéé avoir autant d'importance. Pourquoi vouloir etre quelqu'un d'autre pour paraitre meilleurs? Ce serais comme donner son titre a une autre personne que nous meme, changer d'identiter. A notre naissance nous somme quelqu'un. inutile de vouloir devenir quelqu'un d'autre, nos racine resterons a jamais identique. Alors cesser les mensonges. Cessez de vouloir ce que les autre ont et soyer vous bordel!  
Avarice.
Pouvoir, argent, attirance, et quoi d'autre encore? Impossible de tout citer. Ils veulent tout. tout avoir. Mais pourquoi? pour le titre? Par principe? Interet personelle? ou juste pour se sentir au dessus? Pour pouvoir assouvir ses désir primitif d'assoie son pouvoir sur les autres et de poser son pied sur leurs tête et les prendre de haut. Je ne comprend pas comment se sentir mieux en ecrasant les autres. Il ni a aucun merite a gagner si on, a detuit ses adverssaire.
Luxure.
Sentiment etrange souvent lier a un désir de la chair. Mais aussi, elle est ce besoin d'avoir mieux, de ne vivre que dans le meilleur. Et pour soie en principe. Pourquoi inviter un pouilleux et s'en embarassé alors qu'on peut avoir un grand lit doré pour soie seule?
Orgueil.
On en revient a l'image que les autres porte sur soie. etre le meilleurs. Au dessus. Mais ce coup si c'est en se bercant d'illusion, racontant generalement tellement de chose fausse qu'ils finisse par s'en convaincre eux meme. Stupide n'est-ce pas? On me reproche bien souvent d'etre orgueuilleuse. A ne pas confondre avec la confiance en soie, je sais juste ou s'arrete mes capacité, se n'est pas de la vantardise. C'est du réalisme. Comment ca un orgueuilleux dirais pareil? pff.
Paresse.
Toujours moin faire pour avoir toujours plus. je vous ferez remarquer que les plus grand paresseux son les plus ingénieux, a inventer des stratagéme pour arriver a ses fin le plus vite possible, sans effort. Remarquable ou pahétique? A vous de juger.
Gourmandise.
Plus. Toujours plus. Devorer tout ce que l'on trouve, ce que l'on peut avoir, s'engraisser que se soie de chair, de belles paroles, ou de sang.
Certain se goinfre de nourriture comme des porc, des animaux qu'on engraisserais, a vomir pour pouvoir manger encore plus, toujours plus alors que d'autre meure de faim a coté d'eux. Il ne son meme pas capable de resister a la tentation si douce et si sucré de leurs tendre désir. Mais peut on dire qu'un desir et tendre et sucré si il s'agit d'une insatiable soif de sang? Peut être bien... Apres tout, d'apres les legende la mort et douce, et le sang et un doux breuvage d'apres certain.
Aprés reflexion je commence a mieux comprendre le fonctionnement de la société... S'élever, toujours s'elever. Roi, conseiler, peuple, roche, pauvre, tellement de classification possible d'en tout ca. J'en etais libre avant; Mais que suis je devenue? J'aurais chuté au rang de simple mercenaire?
Oui, on dirais bien. Seulement a la vue de tous je ne suis qu'un chien qui execute les ordres. Mais ce n'est pas le cas non, je cherche juste un vut, une excuse pour mes actes, quelque chose a faire... Le temps est trops long. Il me pése, me tire vers le bas et l'ennuie m'envahis un peu plus chaque jours. J'en devient blazé, et je dois en arrivé a des tache les plus extréme pour pouvoir me sentir un peu mieux. Le combat, et la mort son desormais les seule entité a vouloir rester prés de moi, meme l'espoir ma laisser en plan. Quelle ordure je suis. Mais il ni a pas que la violence qui m'amuse. Certaine personne aussi. Comme elle.
"-Rin..."
Je ne sens pas son odeur, elle n'en a plus. Mais son esprit lui est reconnaissable entre tous. Une ame instable, curieux melange d'innocence et de noirceur, comme une enfant qu'un démon aurais torturer et chercherais a attiré dans les ténébre. Suis je en parie se demon? Probable, je suis une des responsable de son malheur aprés tout. Bien qu'au debut son état m'affecter et que j'avais voulue la prendre sous mon aile, il se trouve qu'en un laps de temps trés cours j'ai enormement changé, et si elle voie se que je suis devenue il est fort probable qu'elle me haissent encore plus.
Je m'approche, mes pas crisse dans la neige, je sais que je suis bien la derniére personne quelle veut croiser, et ca ne m'amuse que davantage. 
Je pousse d'un revers de la main les branche qui me pique le visage. Et la voie, la, son regard gris froid posé sur moi. Un sourire inexplicable se dessine sur mes lévres. Je rajuste le Bandeau sur mon oeil droit, un handicape dont je ne savais meme pas si elle étais au courant, et la fixe inlassablement de mon oeil gauche. 
D'une demarche souple et féline, je me rapproche d'elle en lui tournant autours comme un predateur autour de sa proie pour mieux la jauger.
Elle semblais attendre une réaction, un semblant d'humanité. La preuve qu'un cœur batter encore dans ma poitrine. Quelle naiveter, si je savais qu'ils rester des êtres encore aussi enfantin...
Je m'arrête, devant elle, plongeant le regard hypnotisant de mon unique œil dans les siens, un léger sourire tirant la lèvre. Je passe mon doigt sur son menton pour relever son visage vers le mien. Une ruban pourpre glisse depuis mes main, sur son frêle cou, contrastant avec la blancheur si pur de sa peau. 


"- Tu t'es encore perdue ma pauvre enfant? "

Mon sourire s'elargie, devenant carnassier comme si j'avais l'intention de ne faire qu'une seule bouché de cette jeune fille. Un rire sonore glissas hors de mes lèvre.


"- Est-ce que la folie t'aurais atteinte au point a ce que tu te jette toi même dans les bras de tes cauchemars? "

Je sais quelle me déteste. Elle ne devrais pas, j'ai étais plutôt aimable de l’épargner jusque la non? 
Un vacarme assourdissant vint rompre le silence de glace.

-Ah merde...

Assurément une grande championne de la discrétion. Je soupire. Je ne pourrais jamais être tranquille... Rin peut remercier cette jeune femme qui me semble être une dragonne, c'est son salut pour s'enfuir. Je bondit agilement dans la pente pour atterrie a coter de la dragonne que je plaquais violemment au sol mon épée sous la gorge. L'avais-je déjà croisé? Pas la moindre idée, j'aurais sans doute déjà oublier son visage en me disant que ce n’étais pas quelqu'un d'important. Cette maladroite fessais peut être partie de cette troupe que j'avais anéantie? Peut être étais elle une espionne elle aussi? 


"-Qui est tu? Et que fait tu ici?"

Ma voix flotta comme un léger murmure, mais le silence de la foret étais suffisant pour que toute les personne réunis entende. J'attendis une seconde. Une deuxième. Une de trop. Puis d'un air inexpressif je lever la lame comme un bourreau.


"- Quoi que c'est sans importance. Je ne voie pas l'utilité de ces formalité étant donné que sa finira de la même manière. Remercie moi d'abrégé tes souffrance. "

Je laisse mon bras faire le travail comme si il étais animé d'une volonté propre. Mon épée étais assoiffé et crier a ce qu'on la déshydrate avec le sang de cette jeune fille. Est-ce que quelqu'un quelqu'un l’empercheras de prendre son du?
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